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Lettre économique : l’Euro en zone crépusculaire - octobre 2014

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La lettre économique d'octobre 2014 aborde les sujets suivants : l'éclatement de la zone euro, des effets collatéraux d’Ebola, le secteur des viandes s’attend à un redressement économique aux États-Unis, du marché de la pomme de terre : disponibilités pléthoriques et des prix agricoles.

 

 

 

L’Euro en zone crépusculaire

L’élaboration en France de la loi de finances pour 2015 constitue un moment propice pour revenir sur la situation de la zone euro, plusieurs années après le déclenchement de la crise qui provoqua une panique chez les chefs d’États et sur les places financières. C’est le 15 octobre que Paris doit envoyer son PLF à la Commission européenne. L’état des finances publiques en France est tel que certains exhument l’hypothèse d’un éclatement de la zone euro, alors qu’on la disait certes en convalescence mais tirée d’affaire.

Effets collatéraux d’Ebola

Le virus Ebola, découvert en 1976, touche désormais plusieurs pays d’Afrique et a occasionné plus de 3 000 décès selon l’Organisation Mondiale de la Santé. Par le biais des transports, l’Occident est à son tour concerné par cette épidémie, que ce soit aux États-Unis et surtout en Espagne. Les effets collatéraux de cette épidémie semblent se manifester finalement plus rapidement qu’on aurait pu l’imaginer.

États-Unis : le secteur des viandes s’attend à un redressement économique

Le secteur de l’élevage en France est inquiet pour son avenir. S’il est vrai que certains indicateurs, à commencer par celui du revenu, ne sont pas des mieux orientés, les crises sont faites pour être surmontées, pour peu que l’on définisse du côté des pouvoirs publics des mesures adaptées.

Le marché de la pomme de terre : disponibilités pléthoriques

La production de pommes de terre est abondante en France et dans autres principaux producteurs européens. La consommation française, bien qu’élevée, ne peut absorber ce surplus de production. Les prix à la production sont donc orientés à la baisse.

Prix agricoles : une question de temps

L’OCDE et la FAO se livrent conjointement depuis plusieurs années à un exercice de projections agricoles, en se penchant sur les prix, les productions, la consommation et les échanges.