Vous êtes ici : Accueil > Publications > Toutes les publications > Lettre économique : sécheresse - Septembre 2015

Lettre économique : sécheresse - Septembre 2015

Accéder aux flux rss de notre siteImprimer la page

Au sommaire de la lettre économique : croissance mondiale fragilisée, sécheresse estivale, économie algérienne malmenée par la chute du prix du baril, baisse de l’excédent commercial américain et économie brésilienne en décadence.

Canicule sur les marchés financiers

L’été 2015 aura été particulièrement chaud et pas seulement d’un point météorologique. La dévaluation du Renminbi, reflet du ralentissement de la croissance chinoise, a semé une panique boursière comme on n’en avait point connu depuis 2008. Cette contraction de la croissance chinoise était pourtant anticipée. Le problème est que, devenue effective, elle affole les acteurs financiers, au regard notamment de ses effets induits le secteur agricole est concerné.

Sécheresse estivale : un impact fort sur les bilans fourragers et les cultures de printemps

Depuis le début du mois de juin, la combinaison de faibles précipitations et de températures élevées a créé des situations de déficit hydrique exceptionnelles dans une grande partie de la France. Météo France a déclaré que ce mois de juillet 2015 a figuré "au 3ème rang des mois de juillet les plus chauds depuis 1900" en France.

L'économie algérienne malmenée par la chute du prix du baril

Le cours du baril de pétrole a sérieusement plongé depuis un an, passant de 125 à moins de 50 dollars en août (il se situait encore légèrement au-dessus en juillet).

La baisse de l'excédent commercial américain

Une mauvaise nouvelle pour les négociations TTIP
L'économie américaine avait terminé l'année 2014 sur un excédent commercial agroalimentaire confortable, légèrement au-dessus de 43 milliards de dollars, en progression de près de 16 % par rapport à 2013.

L'économie brésilienne en décadence

Hier présentée comme l'une des plus prometteuses du monde après la Chine, nourrissant des ambitions planétaires en matière d'agriculture et d'exportations de produits agricoles et alimentaires, l'économie brésilienne n'en finit pas de dévisser.